Les meilleurs pays pour télétravailler…
Grâce à sa plateforme utilisée dans le monde entier, Doodle a pu utiliser son exposition numérique et son expertise en matière de réunions pour étudier les raisons pour lesquelles le travail à distance a gagné en popularité ou diminué dans certains pays depuis le pic de la pandémie de COVID-19. Les données anonymes examinées au cours des trois dernières années ont permis d’établir un classement des meilleurs endroits au monde pour les travailleurs à distance.
Les 3 pays qui arrivent en tête
Si le Costa Rica arrive en tête des résultats mondiaux avec un pourcentage massif de réunions à distance, ce n’est pas seulement parce qu’il s’agit d’un paradis naturel. Le pays a su attirer l’attention des travailleurs à distance en étant l’un des rares à proposer un visa de nomade numérique permettant aux étrangers de vivre dans le pays jusqu’à deux ans sans avoir à payer d’impôts sur le revenu.
La Slovaquie figure parmi les trois premiers pays de la liste mondiale et est en tête du classement en Europe. Son faible coût de la vie et sa situation centrale ajoutent à la politique d’absence de visa dont bénéficient les citoyens de l’UE pour y vivre. La Pologne est le deuxième pays représentant le continent européen à occuper la sixième place au niveau mondial.
Le Chili occupe la dixième place de la liste. Outre l’absence de visa pour les citoyens américains qui y vivent et qui travaillent à distance pour des employeurs américains, sa capitale Santiago est un centre technologique mondial où le coût de la vie est abordable.
Renato Profico, PDG de Doodle : « Le travail à distance reste un choix populaire pour de nombreux travailleurs dans le monde. Notre étude montre comment les différentes pressions politiques et culturelles affectent la façon dont les gens travaillent – même lorsque la technologie est là pour soutenir les alternatives. Il est probable que cela ne fasse que commencer, car à mesure que nous assistons aux progrès de l’IA et au désir d’une plus grande automatisation de nos vies professionnelles, les pays vont devoir trouver de nouveaux moyens de soutenir les employés et de rivaliser sur la scène mondiale comme ils ne l’ont jamais fait auparavant. »